Beaucoup de nos compatriotes musulmans souhaiteraient pouvoir pratiquer ou ne pas pratiquer leur religion sans contraintes.

Cela fait maintenant de nombreuses années que les filles de « Ni putes ni soumises » avaient lancé leur mouvement pour dénoncer les contraintes qu’elles subissaient.

Mais vendus, aux monarchies arabes du golf persique, nos responsables politiques ont fait mine de ne pas comprendre.

C’est surtout Nicolas Sarkozy qui a tenu des propos qui pouvaient nous faire croire que ce problème serait pris en considération, mais rien.

Ministre de l’intérieur, puis Président de la République, il est à la base de la création de l’U.O.I.F, cette organisation qui tient aujourd’hui dans la banlieue parisienne son congrès. Parmi les invités à ce congrès se trouvaient des personnes ouvertement racistes et antisémites, nos autorités ont du leur refuser l’accès au territoire national.

Mais le vrai problème se situe en banlieue, là ou des mères musulmanes ont du créer  le  mouvement  qui a pour nom « La Brigade des mères » je fait ci-après un copié collé de ce que déclare Nadia Remadna, à la tête de ce mouvement :

Les banlieues sont des prisons mentales à ciel ouvert. J’ai vingt-quatre ans de terrain derrière moi et la situation actuelle me rappelle ce qui s’est passé en Algérie dans les années 90. Je crains que nous, Français ne soyons désormais forcés d’apprendre à vivre avec la peur, comme l’ont fait les Algériens. C’est déjà ce qui se passe dans certains endroits. Aussi, nous autres mères et citoyennes françaises, voulons nous réapproprier ces lieux sous pression des délinquants et des religieux.  La politique dans les banlieues, c’est devenu un royaume, avec des maires « rois-soleils » qui recrutent leur service d’ordre chez les racailles ! Le problème, c’est qu’une majorité de gens souffrent en banlieue des agissements d’une minorité non seulement tolérée mais courtisée par les politiques.

Je la laisse continuer, c’est beaucoup mieux que ce que je pourrai écrire.

Quand vous représentez une association, la première question qu’un élu vous pose, c’est combien l’association compte de membres et quels électeurs potentiels. Et les islamistes n’échappent pas à ce marchandage. Par intérêt électoral, les politiques ont ainsi encouragé le développement d’un véritable machisme religieux en banlieue. Résultat : grassement subventionnés, les islamistes sont désormais présents à tous les niveaux, aussi bien à la mairie qu’à l’école, faisant des femmes leurs proies. Le problème des musulmans, ce n’est pas l’islamophobie ou la stigmatisation, c’est la radicalisation ! Certains endroits sont de véritables villes d’hommes à partir de 18 heures. En tant que femmes de banlieue, nous devenons peu à peu les ennemies de tout le monde : des religieux, des politiques qui les soutiennent, et des institutions qui les intègrent. Dans ces conditions, comment s’étonner de la montée du vote F.N ?

écoutez Malek Boutih qui déplore les mêmes dérives que Madame Remadna 

Elle dit que François Hollande devrait réunir les maires pour leur rappeler de respecter la loi et surtout les règles de laïcité. Quelle tristesse ! On se croirait dans un pays musulman ou la les libertés de conscience, de croyance, n’existent pas. Une honte pour notre pays.

 Mais lisez aussi ce que déclare Elisabeth Lévy au Figaro

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2015/12/05/31001-20151205ARTFIG00098-elisabeth-levy-la-passivite-de-nos-gouvernants-face-l-islam-radical-fait-progresser-le-fn.php?m_i=RD%2B8VX2%2Bz3eYYyt5YNJQCVqADT1seWeBXt_tcxbw3x%2BI8nsHZvkhB2csyaXb9teVMzmTP_jVkOKrUr_nHjXb%2BN62R_&a2=20160225204658&a3=763-827750-883798#xtor=EPR-300-[actualites]-20151206